La silhouette d’une femme apparaît dans la lumière. Un temps. Le tableau se forme, immuable. La fée « Tu n’arrives jamais à me voir de la même façon. Trompeuse. Tu ne sauras jamais qui je suis. Je veille. Tu ne peux savoir comment je fais. Enchanté. Mon visage figuré, l’autre défiguré. Je te fais peur et je t’attire… » Le défilé commence soudain dans un rythme énergique. Plusieurs femmes tournent, marchent, posent. Les apparences changent. Les corps se courbent ou s’illuminent. Les parures se forment et se brisent.